126 films réalisés.
Jeanine-en-Rideau.
 
Le conte de la nature qui se souvient.
L’énergie de la colère.
Eclipse de soleil, éclipse de vie.
Découvrir un film dans le film.
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (…)
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Un rêve qui prend forme.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Un nouvel élan partagé.
Les mots des poètes nous libèrent.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Un souvenir qui revient en boucle.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est !
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Lettre fictive de Madeleine Levic adressée au Président de la République.Texte original (…)
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Faut-il en rire ou en pleurer ?
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
S’immerger dans l’instant présent.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
La musique adoucit les moeurs.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
La vie reprend toujours ses droits.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Recoller les morceaux...
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
Chant nostalgique d’un espoir.
Des enfants partent, d’autres passent...
La caresse du regard et de l’écoute.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Depuis la fenêtre de la cuisine, la lumière rasante, la brise légère et les trains surprenant (…)
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Le chant du monde.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
La vie au village au printemps 2020.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Fenêtre sur cour.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Rêverie du présent en temps de confinement.
La nature, si mystérieuse et riche.Découvrir Les Derniers Mots de Sarah Gamaire.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (…)
La nature est emplie des mots des poètes.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Lettre à Françoise Simpère.
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Vous connaissez Era ? C’est un petit chiot qui arrive un jour dans une maison ...
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (…)
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Le lieu merveilleux de l’enfance.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
La nuit est propice au plaisir...
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans réponse.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Réflexions sur l’impact du confinement dans nos vie, accompagnées par une musique de Chet Baker (…)
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Les bons conseils livrés à domicile.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Vision cinéphilique, hypnotique et poétique du confinement.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
L’aventure de la vie, en musique !
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Un ami dans le ciel.
Quand les animaux se font philosophes.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (…)
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Quand Julien se réveille ce matin, les humains ont tous disparu...
Comme tous les soirs...
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Cultiver la paix en soi.
Baignades mémorables et joyeuses.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de soi.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Reconnaître les preuves d’amour.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Paradoxalement, c’est agréable.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Mutation, évasion. Voyager depuis sa fenêtre. Découvrir et explorer ce qui s’offre devant soi.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était prédit.
Le masque obligatoire, une forme de censure qui étouffe la parole ?