126 films réalisés.
Des enfants partent, d’autres passent...
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Quand les animaux se font philosophes.
Découvrir un film dans le film.
Les mots des poètes nous libèrent.
Eclipse de soleil, éclipse de vie.
Rêverie du présent en temps de confinement.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Reconnaître les preuves d’amour.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (…)
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Une méditation, au creux de l’oreille.
La vie au village au printemps 2020.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
La caresse du regard et de l’écoute.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Lettre à Françoise Simpère.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est !
Vision cinéphilique, hypnotique et poétique du confinement.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (…)
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Réflexions sur l’impact du confinement dans nos vie, accompagnées par une musique de Chet Baker (…)
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
S’immerger dans l’instant présent.
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Le lieu merveilleux de l’enfance.
La vie reprend toujours ses droits.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Recoller les morceaux...
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
L’énergie de la colère.
Le chant du monde.
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était prédit.
La nature est emplie des mots des poètes.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Un rêve qui prend forme.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
La musique adoucit les moeurs.
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Vous connaissez Era ? C’est un petit chiot qui arrive un jour dans une maison ...
Lettre fictive de Madeleine Levic adressée au Président de la République.Texte original (…)
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
L’aventure de la vie, en musique !
Depuis la fenêtre de la cuisine, la lumière rasante, la brise légère et les trains surprenant (…)
Quand Julien se réveille ce matin, les humains ont tous disparu...
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Un souvenir qui revient en boucle.
Un nouvel élan partagé.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Les bons conseils livrés à domicile.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Paradoxalement, c’est agréable.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
La nature, si mystérieuse et riche.Découvrir Les Derniers Mots de Sarah Gamaire.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
Comme tous les soirs...
Comme un nouveau livre d’histoires.
Un ami dans le ciel.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (…)
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans réponse.
Le masque obligatoire, une forme de censure qui étouffe la parole ?
Baignades mémorables et joyeuses.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Jeanine-en-Rideau.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (…)
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Le conte de la nature qui se souvient.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de soi.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Fenêtre sur cour.
Cultiver la paix en soi.
Mutation, évasion. Voyager depuis sa fenêtre. Découvrir et explorer ce qui s’offre devant soi.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
La nuit est propice au plaisir...
Chant nostalgique d’un espoir.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Par ma fenêtre
