Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
La vie au village au printemps 2020.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
On ne vit pas tous dans le même monde. Musique : Sébastien Blanchon.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Figure musicale de l’absence.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien. Musique de Jules et Victor (...)
Un écran, une fenêtre.
Le chant du monde.