Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Le chant du monde.
Rêverie du présent en temps de confinement.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Ces moments qui paraissent anodins...
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Comme tous les soirs...
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on ne (...)
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Fenêtre sur cour.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Comme un nouveau livre d’histoires.
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (...)
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
A quoi ressemblait le quotidien ?
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Donner la vie, c’est donner la parole.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel donnent (...)
Tout est dans le changement de regard.
Recoller les morceaux...
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Changement de destination...
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Chanter pour se donner du courage.
Chant nostalgique d’un espoir.
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Attendre... puis se mettre en mouvement !
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Voyage immobile.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
Un autre point de vue sur la vie.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
A qui appartient le monde ?
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Un détour par le soleil.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Trouver la juste distance.
La marche du monde.
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Un souvenir qui revient en boucle.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
L’amour n’a pas de frontières.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
En prise avec le manque de soi-même.
Suivez le guide !
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
La goût de la vie et le goût de l’autre.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Des sons disparus.
La poésie dans la tourmente.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
Paris s’éveille... à Nice.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Voir plus grand.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Lettre à Françoise Simpère.
Un simple après-midi dans la neige, si important.
Cultiver la paix en soi.
Promenade dans son petit monde.
Collection de haïkus en musique.
La vie reprend toujours ses droits.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Cheminement en boucles.
Le dialogue et la liberté.
Jeanine-en-Rideau.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Paradoxalement, c’est agréable.
Et pourtant, elles tournent...
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
On s’accorde à revenir vers soi.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
La force de la vie dans l’épreuve.
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Un adieu en sfumato.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Savoir résister...
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Prendre appui, au plus profond de soi.
Dépasser les limites.
Partir, vivre, revenir...
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Baignades mémorables et joyeuses.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Mémoire sensible des lieux.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
La playlist du confinement.
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
La nature, si mystérieuse et riche.
Une fable de l’effondrement...
Figure musicale de l’absence.
La nuit est propice au plaisir...
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Trois souvenirs de ma naissance.
Un ami dans le ciel.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Quand les animaux se font philosophes.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Pour qui sonne le tocsin ?
Où est la vie que l’on regarde ?
L’utopie réalisée.
Souvenir d’antan.
Tout faire pour ses enfants.
C’était le bon temps...
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
Un nouvel élan partagé.
Quand l’obsession change de camp.
Summertime is still here.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Parler, ça fait du bien !
Vivre intensément, avec des inconnus.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
La légende des humains.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Madeleine de Pâques.
Un écran, une fenêtre.
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Une méditation, au creux de l’oreille.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
Se créer une mémoire du présent.
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Le rêve, ultime échappatoire.
Sans toit et face à moi.
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Album de famille, regards des pères.
Nostalgie de la lumière...
Les bons conseils livrés à domicile.
Le rayonnement des rayonnages.
Grandir et ses renoncements...
Se faire du bien ou se faire du mal ?
La vie serait-elle une suite de cycles ?
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Nostalgie de l’enfance.
Ressentir la rotation de l’astre.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Mesurer sa chance.
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Le cycle de la vie.
Demandez le programme !
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Où sont nos racines ?
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Architecture cinématographique néo-classique.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Observer, vivre, résister...
L’aventure de la vie, en musique !
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
La part végétale de l’être humain.
Se remettre les idées à l’endroit.
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Les mots des poètes nous libèrent.
Un monde qui s’anime.
La caresse du regard et de l’écoute.
L’énergie de la colère.
La main vivante.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Jouer à se faire peur.
Un film pour un ami.
Découvrir un film dans le film.
Le déconfinement est-il possible ?
Quel monde préférons nous ?
La voix de la machine... humaine ?
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Peut-on enfin être au calme ?
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Décalogue de mémoire.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Le conte de la nature qui se souvient.
La main, symbole d’humanité.
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Un rêve qui prend forme.
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Avec infiniment de brumes à venir...
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
La science sans limites.
Poésie de la vanité des hommes.
Poétique de l’absence et de la perte.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Reconnaître les preuves d’amour.
Une fenêtre, une frontière...
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Des enfants partent, d’autres passent...
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
De la beauté des émotions fortes.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
La nature est emplie des mots des poètes.
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
La visite du propriétaire.
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
S’immerger dans l’instant présent.
I am obsessed with this girl...
Vol intérieur.
La surprise du dernier instant.
Et pourtant la vue y est splendide...
Anticipation du quotidien.
S’amuser avec trois fois rien...
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Une histoire à chute.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
La musique adoucit les moeurs.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
La vie au village au printemps 2020.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
La joie au travail !
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.