Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
Partir, vivre, revenir...
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
Paradoxalement, c’est agréable.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Un film pour un ami.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Ressentir la rotation de l’astre.
Promenade dans son petit monde.
La vie reprend toujours ses droits.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Découvrir un film dans le film.
La joie au travail !
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Le monde s’agite autour de soi, muet.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Une méditation, au creux de l’oreille.
La science sans limites.
Paris s’éveille... à Nice.
I am obsessed with this girl...
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Mesurer sa chance.
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Une fable de l’effondrement...
L’aventure de la vie, en musique !
Architecture cinématographique néo-classique.
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
A qui appartient le monde ?
Se faire du bien ou se faire du mal ?
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Où sont nos racines ?
Summertime is still here.
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Une fenêtre, une frontière...
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
Madeleine de Pâques.
Et pourtant, elles tournent...
Comme un nouveau livre d’histoires.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
L’énergie de la colère.
Suivez le guide !
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
La main, symbole d’humanité.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
La part végétale de l’être humain.
Des sons disparus.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Le conte de la nature qui se souvient.
La nuit est propice au plaisir...
On s’accorde à revenir vers soi.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Quand l’obsession change de camp.
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Le cycle de la vie.
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Le rayonnement des rayonnages.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Ces moments qui paraissent anodins...
Un souvenir qui revient en boucle.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
L’amour n’a pas de frontières.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Et pourtant la vue y est splendide...
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Changement de destination...
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
Quel monde préférons nous ?
Quand un lycée en rappelle un autre...
Voyage immobile.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
La caresse du regard et de l’écoute.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Un rêve qui prend forme.
Sans toit et face à moi.
La nature, si mystérieuse et riche.
Lettre à Françoise Simpère.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Quand les animaux se font philosophes.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Collection de haïkus en musique.
Se créer une mémoire du présent.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
La playlist du confinement.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Des enfants partent, d’autres passent...
Comme tous les soirs...
Un écran, une fenêtre.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Le déconfinement est-il possible ?
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
La nature est emplie des mots des poètes.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Les mots des poètes nous libèrent.
La voix de la machine... humaine ?
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Mémoire sensible des lieux.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Tout est dans le changement de regard.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Chant nostalgique d’un espoir.
Album de famille, regards des pères.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Où est la vie que l’on regarde ?
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
S’immerger dans l’instant présent.
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
La main vivante.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
La marche du monde.
La goût de la vie et le goût de l’autre.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Poétique de l’absence et de la perte.
Décalogue de mémoire.
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
Une histoire à chute.
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Savoir résister...
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Attendre... puis se mettre en mouvement !
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Prendre appui, au plus profond de soi.
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Le chant du monde.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Un adieu en sfumato.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Se remettre les idées à l’endroit.
De la beauté des émotions fortes.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Recoller les morceaux...
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
Avec infiniment de brumes à venir...
Tout faire pour ses enfants.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Jeanine-en-Rideau.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Un ami dans le ciel.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Trouver la juste distance.
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
Un autre point de vue sur la vie.
Dépasser les limites.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Cheminement en boucles.
Cultiver la paix en soi.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
La surprise du dernier instant.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Nostalgie de l’enfance.
En prise avec le manque de soi-même.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
La vie au village au printemps 2020.
Baignades mémorables et joyeuses.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Observer, vivre, résister...
Rêverie du présent en temps de confinement.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
C’était le bon temps...
Reconnaître les preuves d’amour.
Figure musicale de l’absence.
Demandez le programme !
L’utopie réalisée.
Le dialogue et la liberté.
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Voir plus grand.
Vol intérieur.
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Fenêtre sur cour.
Un simple après-midi dans la neige, si important.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
La poésie dans la tourmente.
Un nouvel élan partagé.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Poésie de la vanité des hommes.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
A quoi ressemblait le quotidien ?
Nostalgie de la lumière...
Trois souvenirs de ma naissance.
Et si on faisait comme les oiseaux ?
La musique adoucit les moeurs.
Pour qui sonne le tocsin ?
Chanter pour se donner du courage.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Anticipation du quotidien.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Les bons conseils livrés à domicile.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Grandir et ses renoncements...
La visite du propriétaire.
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
La légende des humains.
Un monde qui s’anime.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Souvenir d’antan.
Jouer à se faire peur.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Le rêve, ultime échappatoire.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
La force de la vie dans l’épreuve.
Donner la vie, c’est donner la parole.
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Parler, ça fait du bien !
Peut-on enfin être au calme ?
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Un détour par le soleil.