Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Des enfants partent, d’autres passent...
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
La vie reprend toujours ses droits.
Chant nostalgique d’un espoir.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Moment poétique accompagné de jeux de mains, prologue à Flottement.
Avec le confinement, on se rend compte de ce dont on a vraiment besoin.
Avoir deux ans c’est peu et beaucoup à la fois.