Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est !
Donner la vie, c’est donner la parole.
La main vivante.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
La marche du monde.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
A qui appartient le monde ?
Nostalgie de la lumière...
Album de famille, regards des pères.
C’était le bon temps...
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Figure musicale de l’absence.
Sans toit et face à moi.
Poétique de l’absence et de la perte.
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Un adieu en sfumato.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Le dialogue et la liberté.
Les bons conseils livrés à domicile.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
La poésie dans la tourmente.
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
Pour qui sonne le tocsin ?
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
La caresse du regard et de l’écoute.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Paradoxalement, c’est agréable.
Quand l’obsession change de camp.
En prise avec le manque de soi-même.
La nature est emplie des mots des poètes.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Le cycle de la vie.
Demandez le programme !
S’immerger dans l’instant présent.
Un ami dans le ciel.
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on ne (...)
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Le déconfinement est-il possible ?
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
Fenêtre sur cour.
La nature, si mystérieuse et riche.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
La vie reprend toujours ses droits.
La voix de la machine... humaine ?
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Des enfants partent, d’autres passent...
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
Tout est dans le changement de regard.
Où sont nos racines ?
Et pourtant, elles tournent...
Une fenêtre, une frontière...
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
Mémoire sensible des lieux.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Des sons disparus.
Un rêve qui prend forme.
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Observer, vivre, résister...
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Avec infiniment de brumes à venir...
Un autre point de vue sur la vie.
Poésie de la vanité des hommes.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
La part végétale de l’être humain.
Un détour par le soleil.
Cheminement en boucles.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Quand les animaux se font philosophes.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Lettre à Françoise Simpère.
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Trouver la juste distance.
La nuit est propice au plaisir...
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
La playlist du confinement.
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Se remettre les idées à l’endroit.
Dépasser les limites.
Prendre appui, au plus profond de soi.
Un simple après-midi dans la neige, si important.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Savoir résister...
Chanter pour se donner du courage.
Quel monde préférons nous ?
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel donnent (...)
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
La vie au village au printemps 2020.
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
La science sans limites.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
L’énergie de la colère.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
La main, symbole d’humanité.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
I am obsessed with this girl...
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Le conte de la nature qui se souvient.
Anticipation du quotidien.
Peut-on enfin être au calme ?
Ressentir la rotation de l’astre.
La musique adoucit les moeurs.
L’amour n’a pas de frontières.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
La surprise du dernier instant.
Jouer à se faire peur.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
L’utopie réalisée.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Paris s’éveille... à Nice.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
Collection de haïkus en musique.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Un nouvel élan partagé.
Et pourtant la vue y est splendide...
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
La joie au travail !
Comme tous les soirs...
Rêverie du présent en temps de confinement.
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Cultiver la paix en soi.
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Partir, vivre, revenir...
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Suivez le guide !
Un film pour un ami.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
Ces moments qui paraissent anodins...
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Jeanine-en-Rideau.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
L’aventure de la vie, en musique !
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Un souvenir qui revient en boucle.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Changement de destination...
Chant nostalgique d’un espoir.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Promenade dans son petit monde.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Baignades mémorables et joyeuses.
Le confinement n’est pas un état nouveau.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
La force de la vie dans l’épreuve.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Le chant du monde.
Vol intérieur.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
On s’accorde à revenir vers soi.
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Trois souvenirs de ma naissance.
Une histoire à chute.
Nostalgie de l’enfance.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Madeleine de Pâques.
Le rêve, ultime échappatoire.
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Mesurer sa chance.
De la beauté des émotions fortes.
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Décalogue de mémoire.
Architecture cinématographique néo-classique.
Une fable de l’effondrement...
Se créer une mémoire du présent.
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Parler, ça fait du bien !
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Vivre intensément, avec des inconnus.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Découvrir un film dans le film.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Les mots des poètes nous libèrent.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Grandir et ses renoncements...
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (...)
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
La visite du propriétaire.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Le rayonnement des rayonnages.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Souvenir d’antan.
S’amuser avec trois fois rien...
Recoller les morceaux...
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Reconnaître les preuves d’amour.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
La légende des humains.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Attendre... puis se mettre en mouvement !
Où est la vie que l’on regarde ?
Tout faire pour ses enfants.
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Voir plus grand.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
La goût de la vie et le goût de l’autre.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Un écran, une fenêtre.
Un monde qui s’anime.
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Summertime is still here.
Voyage immobile.