L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Peut-on enfin être au calme ?
Anticipation du quotidien. Musique : Brooklyn - Woodkid
Poétique de l’absence et de la perte.
Mouvement incessant du temps.
Savoir résister...
Comme un nouveau livre d’histoires.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital... En mémoire de Guy Hocquenghem.