Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Et pourtant, elles tournent...
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
L’énergie de la colère.
Mémoire sensible des lieux.
Et pourtant la vue y est splendide...
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.