Mémoire sensible des lieux.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Ces moments qui paraissent anodins...
Un rêve qui prend forme.
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique. Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la connexion » (...)
Lettre à Françoise Simpère.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital... En mémoire de Guy Hocquenghem.