Se remettre les idées à l’endroit.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital... En mémoire de Guy Hocquenghem.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
La vie reprend toujours ses droits.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
L’utopie réalisée.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !