Partir, vivre, revenir...
Et pourtant, elles tournent...
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Mesurer sa chance.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Summertime is still here.
La part végétale de l’être humain.
La joie au travail !
La main, symbole d’humanité.
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Les bons conseils livrés à domicile.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Souvenir d’antan.
Quand les animaux se font philosophes.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Grandir et ses renoncements...
Prendre appui, au plus profond de soi.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Une fable de l’effondrement...
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
Donner la vie, c’est donner la parole.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Le rêve, ultime échappatoire.
Paris s’éveille... à Nice.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
A quoi ressemblait le quotidien ?
Une fenêtre, une frontière...
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Dépasser les limites.
Parler, ça fait du bien !
La playlist du confinement.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
Le dialogue et la liberté.
Lettre à Françoise Simpère.
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
La voix de la machine... humaine ?
Vol intérieur.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
La main vivante.
Un adieu en sfumato.
Poétique de l’absence et de la perte.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Rêverie du présent en temps de confinement.
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
La marche du monde.
Le cycle de la vie.
La poésie dans la tourmente.
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Le déconfinement est-il possible ?
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Le monde s’agite autour de soi, muet.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Architecture cinématographique néo-classique.
De la beauté des émotions fortes.
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Les mots des poètes nous libèrent.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Où sont nos racines ?
Comme tous les soirs...
Jeanine-en-Rideau.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
Baignades mémorables et joyeuses.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
Cultiver la paix en soi.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Et pourtant la vue y est splendide...
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Se créer une mémoire du présent.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
L’énergie de la colère.
La musique adoucit les moeurs.
En prise avec le manque de soi-même.
Promenade dans son petit monde.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
La nuit est propice au plaisir...
C’était le bon temps...
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Où est la vie que l’on regarde ?
La science sans limites.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Pour qui sonne le tocsin ?
Ressentir la rotation de l’astre.
Quand un lycée en rappelle un autre...
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Une histoire à chute.
Poésie de la vanité des hommes.
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Chant nostalgique d’un espoir.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Album de famille, regards des pères.
Voyage immobile.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Un souvenir qui revient en boucle.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Un détour par le soleil.
Un monde qui s’anime.
Un écran, une fenêtre.
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
Fenêtre sur cour.
Ces moments qui paraissent anodins...
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Collection de haïkus en musique.
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
La vie reprend toujours ses droits.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Un film pour un ami.
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Jouer à se faire peur.
Cheminement en boucles.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
La nature est emplie des mots des poètes.
Un nouvel élan partagé.
Chanter pour se donner du courage.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Anticipation du quotidien.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
L’utopie réalisée.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Des sons disparus.
Changement de destination...
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Recoller les morceaux...
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Décalogue de mémoire.
Avec infiniment de brumes à venir...
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
Paradoxalement, c’est agréable.
L’aventure de la vie, en musique !
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
A qui appartient le monde ?
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Un ami dans le ciel.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Le chant du monde.
Savoir résister...
Quand l’obsession change de camp.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
La nature, si mystérieuse et riche.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Découvrir un film dans le film.
S’immerger dans l’instant présent.
La visite du propriétaire.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
L’amour n’a pas de frontières.
Nostalgie de la lumière...
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Voir plus grand.
Des enfants partent, d’autres passent...
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Nostalgie de l’enfance.
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
On s’accorde à revenir vers soi.
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
La goût de la vie et le goût de l’autre.
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Observer, vivre, résister...
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Suivez le guide !
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Reconnaître les preuves d’amour.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Trois souvenirs de ma naissance.
Un simple après-midi dans la neige, si important.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Tout est dans le changement de regard.
Trouver la juste distance.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
La surprise du dernier instant.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
La légende des humains.
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Tout faire pour ses enfants.
Un autre point de vue sur la vie.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Mémoire sensible des lieux.
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Sans toit et face à moi.
Figure musicale de l’absence.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
I am obsessed with this girl...
Le conte de la nature qui se souvient.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Un rêve qui prend forme.
Quel monde préférons nous ?
Demandez le programme !
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
La caresse du regard et de l’écoute.
Se remettre les idées à l’endroit.
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Madeleine de Pâques.
Peut-on enfin être au calme ?
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Attendre... puis se mettre en mouvement !
La force de la vie dans l’épreuve.
Le rayonnement des rayonnages.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
La vie au village au printemps 2020.