Une fenêtre, une frontière...
Où sont nos racines ?
Avec infiniment de brumes à venir...
Trois souvenirs de ma naissance.
On s’accorde à revenir vers soi.
Comme tous les soirs...
Un monde qui s’anime.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
Le déconfinement est-il possible ?
La goût de la vie et le goût de l’autre.
Dans l’envers de la ville, il y a notre histoire.
Un ami dans le ciel.
Cheminement en boucles.
Trouver la juste distance.
La poésie dans la tourmente.
La caresse du regard et de l’écoute.
La visite du propriétaire.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Grandir et ses renoncements...
Baignades mémorables et joyeuses.
Chant nostalgique d’un espoir.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Le vent se lève... sur des lendemains qui chantent.
Un autre point de vue sur la vie.
La voix de la machine... humaine ?
Prenons le pouvoir, soyons nos propres metteurs en scène.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
La surprise du dernier instant.
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
Psychogénéalogie des lieux de vacances.
Le chant du monde.
Album de famille, regards des pères.
Anticipation du quotidien.
Le dialogue et la liberté.
Les milliers d’images dont nos sentiments sont faits.
Chanter pour se donner du courage.
Nostalgie de la lumière...
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Et si on regardait par les fenêtres de notre passé ?
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
Le rêve, ultime échappatoire.
Des enfants partent, d’autres passent...
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Demandez le programme !
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Pour qui sonne le tocsin ?
Vivre intensément, avec des inconnus.
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Un film pour un ami.
La science sans limites.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
En prise avec le manque de soi-même.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Regarder, sentir, écouter et se souvenir.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor (...)
Les bons conseils livrés à domicile.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Vol intérieur.
De la beauté des émotions fortes.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Reconnaître les preuves d’amour.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Ressentir la rotation de l’astre.
La nature, si mystérieuse et riche.
Quand l’obsession change de camp.
Partir, vivre, revenir...
Collection de haïkus en musique.
La vie au village au printemps 2020.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
La nature est emplie des mots des poètes.
Un écran, une fenêtre.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de (...)
A qui appartient le monde ?
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Découvrir un film dans le film.
Poésie de la vanité des hommes.
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Il était une fois une jeune prof, nouvellement arrivée...
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Attendre... puis se mettre en mouvement !
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Un détour par le soleil.
Tout est dans le changement de regard.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (...)
La marche du monde.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Mesurer sa chance.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
La légende des humains.
Dépasser les limites.
Souvenir d’antan.
Le conte de la nature qui se souvient.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
La musique adoucit les moeurs.
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est (...)
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
Un adieu en sfumato.
Et si la vie, la vraie vie, se nichait au coeur du silence ?
Observer, vivre, résister...
Parler, ça fait du bien !
La vie reprend toujours ses droits.
Donner la vie, c’est donner la parole.
Architecture cinématographique néo-classique.
Sans toit et face à moi.
Se remettre les idées à l’endroit.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
La vraie vie, exubérante, incontrôlable.
Un souvenir qui revient en boucle.
Cultiver la paix en soi.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Voyage immobile.
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Les mots des poètes nous libèrent.
Un simple après-midi dans la neige, si important.
L’utopie réalisée.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Rêverie du présent en temps de confinement.
Fenêtre sur cour.
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Une fable de l’effondrement...
Quand ni l’un ni l’autre ne doit gagner...
Enquête à huis-clos dans un passé compassé.
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (...)
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Tout ce que l’on sait que les autres ne savent pas que l’on sait.
Changement de destination...
Mémoire sensible des lieux.
Moeurs d’hier, moeurs d’aujourd’hui...
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Le monde s’agite autour de soi, muet.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
L’énergie de la colère.
Madeleine de Pâques.
Un instant vécu peut infuser pour toute la vie.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Jeanine-en-Rideau.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
Le lieu d’une vie rêvée, qui n’a pas eu lieu.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
Un rêve qui prend forme.
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Jouer à se faire peur.
Le rayonnement des rayonnages.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans (...)
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Les mots s’entremêlent, pour un pas de côté obligatoire.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.
L’aventure de la vie, en musique !
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Et dans le futur, comment se fêtera-t-on les anniversaires ?
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Une fenêtre sur la poésie de Boucar Diouf.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (...)
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Tout faire pour ses enfants.
La nuit est propice au plaisir...
Quel monde préférons nous ?
Un poème découvert il y a 7 ans à cette fenêtre.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Figure musicale de l’absence.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
Voir plus grand.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Prendre appui, au plus profond de soi.
Décalogue de mémoire.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Ballade dans le sentiment amoureux.
Peur et joie mêlées de l’enfance : « ce n’était qu’un jeu ».
La playlist du confinement.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
La force de la vie dans l’épreuve.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Quand une dernière fois marque pour toute la vie.
Dialogue intérieur avec la jolie voisine.
J’aime imaginer ce que je ne vois pas.
Un premier événement traumatique, avant les autres.
Et pourtant, elles tournent...
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Se créer une mémoire du présent.
Savoir résister...
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
C’était le bon temps...
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Et si tout cela n’était qu’un film ?
Recoller les morceaux...
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Des sons disparus.
Voici ce qui fait la force de notre humanité...
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Une histoire à chute.
La joie au travail !
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
La vie serait-elle une suite de cycles ?
Ma fenêtre, mon carnet et moi.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Un jour on se retourne, et que découvre-t-on ?
Par ma fenêtre, le temps s’arrête.
Suivez le guide !
Le cycle de la vie.
Quand deux périodes de confinement se rencontrent.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Summertime is still here.
Tissage d’hommages et de liens profonds.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
L’amour n’a pas de frontières.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
I am obsessed with this girl...
Paris s’éveille... à Nice.
Lettre à Françoise Simpère.
Poétique de l’absence et de la perte.
La part végétale de l’être humain.
La main, symbole d’humanité.
Paradoxalement, c’est agréable.
La main vivante.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Où est la vie que l’on regarde ?
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Ces moments qui paraissent anodins...
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Les voyages forment la jeunesse, disait-on, avant...
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Peut-on enfin être au calme ?
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Promenade dans son petit monde.
S’immerger dans l’instant présent.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Quand les animaux se font philosophes.
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était (...)
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
Et pourtant la vue y est splendide...
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Nostalgie de l’enfance.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Et si cette vue était la meilleure des vues ?
Un nouvel élan partagé.
Il faudrait commencer à mieux s’occuper des fées.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Autour d’un escalier se déploie l’histoire d’une famille.
Dessiner, inscrire, graver, ciseler... sa mémoire, par les mots.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Par ma fenêtre | 
