La contemplation, plus importante que tout le reste.
Dépasser les limites.
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
La part végétale de l’être humain.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Avec le confinement, on se rend compte de ce dont on a vraiment besoin.
Souvenirs d’un été...
Un souvenir qui revient en boucle.
Jouer à se faire peur.
Un écran, une fenêtre.