La part végétale de l’être humain.
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Paradoxalement, c’est agréable.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
L’utopie réalisée.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
La vie reprend toujours ses droits.
Une autre manière de parler cinéma.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Chant nostalgique d’un espoir.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (...)
Quand l’obsession change de camp.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (...)
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Fenêtre sur cour.
Un nouvel élan partagé.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Ce qui fait le sel de l’existence.Musique : Children of the Sun- Poets of the Fall
La joie au travail !
De la beauté des émotions fortes.
Architecture cinématographique néo-classique.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Le chant du monde.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Rencontre avec Tadeusz.
Un ami dans le ciel.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
I am obsessed with this girl...
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (...)
Recoller les morceaux...
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Applaudissements dans la nuit.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Les mots des poètes nous libèrent.
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Que dit-elle cette voisine ? Quelle est sa vie ?
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (...)
Chronique d’un déconfinement annoncé.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
S’immerger dans l’instant présent.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Le dialogue et la liberté.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Paris s’éveille... à Nice.
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel (...)
Se remettre les idées à l’endroit.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Cheminement en boucles.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Partir, vivre, revenir...
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.