Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (…)
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique.Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la (…)
A quoi ressemblait le quotidien ?
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Le dialogue et la liberté.
S’immerger dans l’instant présent.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Chant nostalgique d’un espoir.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
La vie reprend toujours ses droits.
Applaudissements dans la nuit.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
La part végétale de l’être humain.
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
L’utopie réalisée.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
Architecture cinématographique néo-classique.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
I am obsessed with this girl...
Quand l’obsession change de camp.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Recoller les morceaux...
Que dit-elle cette voisine ? Quelle est sa vie ?
Franchir la fenêtre, pour être vie.
La joie au travail !
Rencontre avec Tadeusz.
Un ami dans le ciel.
Les mots des poètes nous libèrent.
Un nouvel élan partagé.
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Paradoxalement, c’est agréable.
Ce qui fait le sel de l’existence.Musique : Children of the Sun- Poets of the Fall
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Le chant du monde.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
De la beauté des émotions fortes.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
Une autre manière de parler cinéma.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (…)
Fenêtre sur cour.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (…)
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
Paris s’éveille... à Nice.
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel (…)
Se remettre les idées à l’endroit.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Cheminement en boucles.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Partir, vivre, revenir...
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.