Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Un enfant venu de loin, il y a longtemps...
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Bienvenue dans un moment exceptionnel !
Vivre intensément, avec des inconnus.
Mais la vie continue !
Le temps passe et il faut continuer de rêver.
Paysage mauvaisSables de vieux os – Le flot râleDes glas : crevant bruit sur bruit …– (…)
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
Madeleine de Pâques.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
« C’est drôle comme les choses changent très rapidement ».
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
La vie au village au printemps 2020.
Nostalgie de la lumière...Musique : En souvenir de nous - Grégoire
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
On ne vit pas tous dans le même monde.Musique : Sébastien Blanchon.
De la beauté des émotions fortes.
Tout va si vite, quand on ne bouge pas.
Des sons disparus.
L’énergie de la colère.
Vol intérieur.
La marche du monde.
Une fable de l’effondrement...
Parler du cinéma au travers d’un portable.En écho à Mythologie du portable de Laurence Allard
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
L’utopie réalisée.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Décalogue de mémoire.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Quand on se découvre un compagnon inattendu et puissant.Musique : Jérémie Leclercq.
En prise avec le manque de soi-même.
Jeanine-en-Rideau.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Ce qui fait le sel de l’existence.Musique : Children of the Sun- Poets of the Fall
Faire le choix de vivre dans la joie malgré la peine.
Dialoguer avec son enfant intérieur, pouvoir le rassurer, enfin.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (…)
Le lieu de vie, qu’est-ce ? Plus qu’un endroit, c’est peut-être surtout le temps dans lequel on (…)
Comment un simple téléchargement devient un sujet politique et social.
Histoire d’un déménagement en Polynésie.
Réflexions sur l’impact du confinement dans nos vie, accompagnées par une musique de Chet Baker (…)
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer l’esprit.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Anticipation en chanson d’un changement de point de vue radical.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
La nuit est propice au plaisir...
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.Annabel Lee d’Edgar Poe traduit par (…)
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Et si nos larmes étaient celles des nuages ?
Quand la nuit est tombée, les intérieurs s’illuminent.
Applaudissements dans la nuit.
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (…)
Lève les yeux au ciel, regarde les nuages et laisse ton esprit inventer ...
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
Durant le confinement les jours passent et le temps s’étiole ...Retrouvez Summer holidays de (…)
Pensées et états d’âmes.
Un nouvel élan partagé.
Ouvrir nos perceptions... grâce à la musique.
Immersion dans l’imaginaire nocturne.
Un ami dans le ciel.
Les lointains souvenirs peuvent revenir en volant.
Quand l’angoisse se fait si intense qu’elle nous tient éveillé.
La question du décès d’un proche racontée de manière sensible par Carlos Ormeno Palma.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Par ma fenêtre
