Sur une musique toute douce, Michelle nous fait part de ses réflexions sur la valeur des (...)
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
Parler du cinéma au travers d’un portable.En écho à Mythologie du portable de Laurence Allard
Poétique de l’absence et de la perte.
Au cours d’un voyage, réflexions sur la question de l’enfermement dans le couple.
Reconnaître les preuves d’amour.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Sur la chanson L’amour d’une mère de Patience Dabany, évocations de souvenirs de famille. Et (...)
Ballade dans le sentiment amoureux.
Le lieu de vie, qu’est-ce ? Plus qu’un endroit, c’est peut-être surtout le temps dans lequel (...)
Et pourtant la vue y est splendide...
En prise avec le manque de soi-même.
Quand un lycée en rappelle un autre...
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.Annabel Lee d’Edgar Poe traduit par (...)
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
La nuit est propice au plaisir...
L’amour n’a pas de frontières.
Paysage mauvaisSables de vieux os – Le flot râleDes glas : crevant bruit sur bruit …– (...)
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
Quand la nuit est tombée, les intérieurs s’illuminent.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.