La main, symbole d’humanité.
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
De quoi se souviendront les artistes peintres ?
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien.Musique de Jules et Victor Bertin.
Des enfants partent, d’autres passent...
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Poésie de la vanité des hommes.Jardins du monde de Marie-Françoise Gaucher
A qui appartient le monde ?
La part végétale de l’être humain.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Un nouvel élan partagé.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (…)
Sur une musique toute douce, Michelle nous fait part de ses réflexions sur la valeur des choses. (…)
Moment poétique accompagné de jeux de mains, prologue à Flottement.
Faisant suite à Moment d’absence, Anissa propose de s’éloigner un peu de la Terre pour se perdre (…)
Durant le confinement les jours passent et le temps s’étiole ...Retrouvez Summer holidays de (…)
Dans sa langue maternelle, Harshveer nous raconte ses vacances d’été.Retrouvez Quarantine Day (…)
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (…)
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
Où sont nos racines ?
Cheminement en boucles.
Demandez le programme !
Rêverie du présent en temps de confinement.
Une autre manière de parler cinéma.
A propos d’une charrette qui vient tout droit du passé.
La main vivante.
La vie ne s’arrêtera pas comme ça.
Histoire partagée, fenêtre partagée...
Un écran, une fenêtre.
Mutation, évasion. Voyager depuis sa fenêtre. Découvrir et explorer ce qui s’offre devant soi.
Un voyage en plein vent dans la formation des souvenirs.
Recoller les morceaux...
La force de la vie dans l’épreuve.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Et si c’était l’occasion d’enrichir sa cinéphilie ?
Un rêve qui prend forme.
Le conte de la nature qui se souvient.
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
Pour qui sonne le tocsin ?
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
En prise avec le manque de soi-même.
La marche du monde.
Quels secrets se cachent dans cette petite forêt ?
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
La rencontre entre deux jeunes filles que tout semble opposer.
En Tunisie, la loi 52 prévoit un an de prison minimum pour les consommateurs de drogue. Retour (…)
Parler du cinéma au travers d’un portable.En écho à Mythologie du portable de Laurence Allard
Il n’y a pas que les élèves pour qui c’est la rentrée !
Quand Julien se réveille ce matin, les humains ont tous disparu...
Un fantôme à la fenêtre.
Lettre à Françoise Simpère.
Partir, vivre, revenir...
Le rayonnement des rayonnages.
Les bons conseils livrés à domicile.
Ressentir la rotation de l’astre.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Richesse de la lecture, quand on n’a pas les mots.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.