Et si notre imaginaire était notre plus grande force ?
Une voix scande un corps qui danse, corps du monde.
Le lieu merveilleux de l’enfance.
Un corps, à travers le temps, dans la caresse de la vague.
Baignades mémorables et joyeuses.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Je me souviens des étés chauds comme un four...
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
De la beauté des émotions fortes.
Jeanine-en-Rideau.
Paysage mauvaisSables de vieux os – Le flot râleDes glas : crevant bruit sur bruit …– (…)
Avoir deux ans c’est peu et beaucoup à la fois.
Délicat mouvement musical de la poésie du dedans vers les souvenirs du dehors.
Toujours le même chemin, et pourtant tant de chemin.
La contemplation, plus importante que tout le reste.
Dépasser les limites.
Le ciel, à toutes les heures du jour et de la nuit.
Une fable de l’effondrement...
L’habit ne fait pas le moine.
Le masque obligatoire, une forme de censure qui étouffe la parole ?
Il y a 50 ans, dans une chambre d’hôpital...En mémoire de Guy Hocquenghem.
Quand les animaux se font philosophes.
Paradoxalement, c’est agréable.
Promenade dans son petit monde.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Le chant du monde.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Faut-il en rire ou en pleurer ?
Trouver la juste distance.
Peut-on enfin être au calme ?
Le dialogue et la liberté.
Tresser, pour tisser les liens indispensables à la vie.
Mélodie dans le vent.
Une méditation, au creux de l’oreille.
Rêve et réalité de la vie à la campagne.
La vue d’une chambre racontée par un enfant.
La nature, si mystérieuse et riche.Découvrir Les Derniers Mots de Sarah Gamaire.
Par delà les désaccords, les mots d’amour sont plus forts.
La vie à la campagne reprend, presque comme si de rien n’était.
Un film pour un ami.
Observer, vivre, résister... Description onirique d’un monde oublié.Découvrez Après dix ans de (…)
Dans sa langue maternelle, Harshveer nous raconte ses vacances d’été.Retrouvez Quarantine Day (…)
Une marionnette pour retrouver un papa disparu.
Souvenir d’enfance en deux points de vue.
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
Quand l’univers quotidien se transforme, au gré de l’imagination qui s’envole...
Apprendre et garder en soi, la poésie...
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame survient.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Quand les objets deviennent une part de nous-mêmes.
Entre mes mots, m’entendras-tu ?
Quand l’obsession change de camp.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
La caresse du regard et de l’écoute.
Quel monde préférons nous ?
Discussion entre une mère et son fils.
Le lieu de vie, qu’est-ce ? Plus qu’un endroit, c’est peut-être surtout le temps dans lequel on (…)
Souvenirs d’enfance, souvenirs d’adolescence, quels souvenirs de cet été ?
Sur une musique toute douce, Michelle nous fait part de ses réflexions sur la valeur des choses. (…)
Vite vite le filmer, avant d’oublier.
Histoire de la création d’un monde, racontée par Sofia et sa fenêtre en papier découpé.
Témoignage sensible et émouvant d’une petite-fille pour sa grand-mère.
Lettre fictive de Madeleine Levic adressée au Président de la République.Texte original (…)
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans réponse.
Se faire du bien ou se faire du mal ?
Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est !
Le rayonnement des rayonnages.
En prise avec le manque de soi-même.
A quoi ressemblait le quotidien ?
La musique, essence de la vie.
Description filmée d’une vue en Albanie. Personne ne sait pourquoi il y a ce câble à gauche ?
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
La vie reprend toujours ses droits.
La part végétale de l’être humain.
Le déconfinement de Charles Baudelaire.
Comme un conte de la lune vague après la pluie.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Les mots des poètes nous libèrent.
L’amour n’a pas de frontières.
Un ami dans le ciel.
Comment traduire dans une autre langue ce que l’on souhaite exprimer dans la sienne ? Les mots (…)
Un fantôme à la fenêtre.
Tout faire pour ses enfants.
On s’accorde à revenir vers soi.
Mouvement incessant du temps.
Allégorie moyenâgeuse d’une solitude assumée.
Le plus important dans la vie c’est la famille.
Même avant, il n’était pas si facile de sortir.
Retenir le souvenir par la musique.
Et pourtant la vue y est splendide...
Communiqué officiel ... officieusement satirique ! Une absurdité qui frise la réalité.
La fenêtre préférée des chats.
« C’est drôle comme les choses changent très rapidement ».
Depuis la fenêtre de la cuisine, la lumière rasante, la brise légère et les trains surprenant (…)
Et pourquoi ne pas choisir de s’inventer une vie de luxe ?
Voir plus grand.
L’énergie de la colère.
La nature est emplie des mots des poètes.
Fernando Pessoa, v.o.s.t.
Durant le confinement les jours passent et le temps s’étiole ...Retrouvez Summer holidays de (…)
Histoire d’un déménagement en Polynésie.
Une fenêtre, une frontière...
Recoller les morceaux...
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (…)
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Et si on faisait comme les oiseaux ?
Après la pluie, le beau temps.
Comme un nouveau livre d’histoires.
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir.Retrouvez Il faut savoir attendre (…)
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on (…)
Au lever du rideau...
A qui appartient le monde ?
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
L’oeil écoute, l’oreille voit, l’âme se souvient.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient.Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la (…)
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.Annabel Lee d’Edgar Poe traduit par (…)
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
Par la fenêtre à travers les Siècles.
Où est la vie que l’on regarde ?
Il n’y a pas que les élèves pour qui c’est la rentrée !
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Un souvenir qui revient en boucle.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Un détour par le soleil.
La bonne formule pour être en liberté derrière les murs.
Trois souvenirs de ma naissance.
La rencontre entre deux jeunes filles que tout semble opposer.
Un monde qui s’anime.
Il piaille, il trépigne, il s’impatiente... dans sa cage.
La force de la vie dans l’épreuve.
Dis ! Quand Reviendras-tu ?
Se créer une mémoire du présent.