Les mots des poètes nous libèrent.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se toucher.
Le confinement n’est pas un état nouveau.
En prise avec le manque de soi-même.
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Savoir résister...
La main, symbole d’humanité.