Il y en a une qui donne au Sud, une autre au Nord et la troisième… vers l’Est !
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (…)
En attendant... viennent à nous, dans le quotidien, des questions philosophiques sans réponse.
Paradoxalement, c’est agréable.
Prendre le temps d’observer le monde autour de soi, c’est se découvrir à soi-même.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
La nuit est propice au plaisir...
La contemplation, plus importante que tout le reste.
A travers un jardin, c’est toute une vie qui se dévoile.
Où est la vie que l’on regarde ?
Tout est dans le changement de regard.
Le monde n’est réel que par l’imaginaire que l’on projette sur lui.
Un olivier n’est pas qu’un arbre, mais un vase rempli...
Quand c’est le monde qui nous dicte notre prose.
Alors que l’on veut s’éloigner, on se rend compte qu’ensemble c’est mieux.
Derrière une chanson, c’est toute une vie redécouverte qui se déploie.
Prendre l’apéritif ensemble, c’est une ode à la vie.
Le confinement n’est pas un état nouveau.
Le partage des regards par les fenêtres de chacun, c’est comme une danse intérieure.
Rester enfant à l’intérieur de soi, pour toujours.
Et pourtant la vue y est splendide...
« La division cellulaire est le mode de multiplication de toute cellule. »
L’éveil spirituel en période de confinement n’est peut-être pas chez qui l’on croit.
Je vous fais suivre un mot qui ne m’était pas destiné.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
L’écoute du monde autour de nous, c’est la découverte la plus précieuse au fond de soi.
La nature est emplie des mots des poètes.
Donner la vie, c’est donner la parole.
Le plus important dans la vie c’est la famille.
Avoir deux ans c’est peu et beaucoup à la fois.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (…)
Vous connaissez Era ? C’est un petit chiot qui arrive un jour dans une maison ...
Profitons de ce que nous avons, car rien n’est acquis.
Sur une musique toute douce, Michelle nous fait part de ses réflexions sur la valeur des choses. (…)
La question du décès d’un proche racontée de manière sensible par Carlos Ormeno Palma.
« C’est drôle comme les choses changent très rapidement ».
Il n’y a pas que les élèves pour qui c’est la rentrée !
Au cours d’un voyage, réflexions sur la question de l’enfermement dans le couple.
Lorsqu’Hala se réveille, elle voit. C’est un miracle !
Mais qu’est-ce que la neige, au fond ? Ce n’est pas ce qu’on croit, et c’était prédit.
Un monde qui s’anime.
Paris s’éveille... à Nice.
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Le rayonnement des rayonnages.
Un adieu en sfumato.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
Décalogue de mémoire.
Voyage immobile.
Ressentir la rotation de l’astre.
Dans les voix des autres, se trouver soi-même.
Même chez soi, on peut ne plus être chez soi.
La parole, comme un chant, dévoile l’existence de champs passés et ouvre à un nouveau champ de (…)
Se mettre dans les meilleures dispositions.
Chanter pour se donner du courage.
De la beauté des émotions fortes.
La main, symbole d’humanité.
Des sons disparus.
Des sons imaginaires.Musique : Valtteri Kujala.
I am obsessed with this girl...
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
Le lieu de vie, qu’est-ce ? Plus qu’un endroit, c’est peut-être surtout le temps dans lequel on (…)
En se tenant à cette fenêtre, regardant cette météo capricieuse, Daanin ne peut s’empêcher de (…)
Tiens, on voit la piscine... maintenant que les arbres ont perdu leurs feuilles.En été, on (…)
Comment un simple téléchargement devient un sujet politique et social.
Changement de destination...
« J’avais fait cette vidéo avant le confinement pour mes enfants et elle me revient chaque fois (…)
Une fois la porte fermée, c’est là que tout commence, que tout finit.Avec Florence Hebbelynck (…)
Quand la nuit est tombée, les intérieurs s’illuminent.
Que dit-elle cette voisine ? Quelle est sa vie ?
On regarde les autres, mais les autres, comment nous voient-ils ?
Les mots sont venus, sont revenus, ils se sont couchés sur le papier.
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.
Si loin, si proches... Dans les facettes des souvenirs, se tisse le lien humain.
Demandez le programme !
Voir plus grand.
La musique adoucit les moeurs.
Ode au jardin.
Découvrir qu’être en soi est l’expérience fondatrice, qui change toute la vie.
On circule, on apparaît, on disparaît, nos destins se croisent.
Les auteurs du passé, qui chevauchent nos imaginaires.Annabel Lee d’Edgar Poe traduit par (…)
Une autre manière de parler cinéma.
Un écran, une fenêtre.
Paysage mauvaisSables de vieux os – Le flot râleDes glas : crevant bruit sur bruit …– (…)
Un souvenir qui revient en boucle.
Poésie de la vanité des hommes.Jardins du monde de Marie-Françoise Gaucher
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Trouver la juste distance.
Rencontre avec Tadeusz.
L’utopie réalisée.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Ces moments qui paraissent anodins...
Savoir résister...
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel (…)