Quel usage fait-on des mots, hier, aujourd’hui, écrits, parlés ?
Partir, vivre, revenir...
Se remettre les idées à l’endroit.
Un instant de bonheur intense, qui infuse pour toute la vie.
Dessiner les contours du réel et de la liberté.
Cheminement en boucles.
Montage, superpositions, échos... comme le cinéma de notre mémoire.
La chance de pouvoir faire un retour sur soi, privilège de classe.
Paris s’éveille... à Nice.
Je devais retourner en Auvergne vers la fin mars, et voici que le confinement m’enferme en (...)
A ce carrefour entre la rue Jeanne d’Arc et le boulevard de l’hôpital à Paris, sur lequel donnent (...)
Haïku audiovisuel sur la nécessité d’être patient. Retrouvez Oui à la vie et Dis-moi... de la même (...)
Rencontre avec Tadeusz.
Un journal du regard et de l’écoute de l’autre, qui est peut-être plus en nous-mêmes qu’on (...)
Fenêtre sonore ouverte sur les mouettes.
Fenêtre ouverte sur le monde aquatique. Réalisé dans le cadre de l’atelier « Filmer la connexion » (...)
Un ami dans le ciel.
La joie au travail !
Se laisser porter, transformer, par le moment présent.
Mais quel genre de personne a pu taguer ça ?
Ode à la beauté de la vie et à la nécessité de s’en saisir. Retrouvez Il faut savoir attendre et (...)
Chronique d’un déconfinement annoncé.
Architecture cinématographique néo-classique.
Franchir la fenêtre, pour être vie.
Ce qui fait le sel de l’existence. Musique : Children of the Sun- Poets of the (...)
Une autre manière de parler cinéma.
A quoi ressemblait le quotidien ?
Chant nostalgique d’un espoir.
Vivre intensément, avec des inconnus.
Un nouvel élan partagé.
Elle est notre amie et un symbole d’espoir.
De la beauté des émotions fortes.
Le dialogue et la liberté.
Que dit-elle cette voisine ? Quelle est sa vie ?
Fenêtre sur cour.
Applaudissements dans la nuit.
I am obsessed with this girl...
Le prendre dans les bras de son âme, l’enfant intérieur.
Les mots des poètes nous libèrent.
L’utopie réalisée.
Penser, réfléchir, philosopher, écrire, apprendre, transmettre, entrer, sortir, se libérer (...)
Recoller les morceaux...
Pourquoi ce souvenir là, toujours le même ? C’est ainsi.
La vie reprend toujours ses droits.
Se sauver, s’en aller, noyer sa solitude.
A 7 ou 8 ans, le monde est joyeux, mais déjà dangereux.
Reconnaître, être reconnu, se reconnaître...
Paradoxalement, c’est agréable.
Un souvenir de cinéma remonte, et nous met face à nous même.
De fenêtre à fenêtre, le temps d’une cigarette, on survole Pyongyang !
Seule, enfant, dans la nuit, dans la neige, aller chercher du lait à la ferme. Et le drame (...)
Vendredi 13 novembre 2015, vendredi 13 mars 2020...
A qui appartiennent ces deux grands yeux ?
Faire le tri... entre réel et imaginaire.
Les presque-répétitions de l’Histoire.
On se connaît peu, mais on a de l’attention pour l’autre.
Solidarités par associations d’idées libertaires et surréalistes.
S’immerger dans l’instant présent.
Paradoxalement, on peut être ensemble plus en profondeur, sans se voir ni se (...)
Quand l’obsession change de camp.
Poétiser nos futurs souvenirs du temps où nous étions libres.
Se débarrasser du superflu, revenir à l’essentiel.
Se retrouver soi-même, en observant deux simples plantes.
Le chant du monde.
La réalité du monde à l’intérieur de nous.
À l’heure du confinement, au clair de la Lune, les Terriens souffrent d’insomnie...
La part végétale de l’être humain.
Les toits de Paris invitent à rêver un film, à changer de temporalité.
Une épopée humaine, dans un petit coin de quartier parisien. Musique de Jules et Victor (...)
Une belle rue, avec tant d’histoires à raconter.